vendredi 29 février 2008

D'un souvenir d'été



La monotonie du vent éternisa ce soleil qui transperssant nuage après nuage, imposa sa beauté.
Il était 6h23, son corp errait dans des draps tantôt clair tantôt obscur ; ce jeu sensuel entre la nuit et le jour en disait long sur le plaisir charnel que pratiquer son corp, dans l'insouciance de cette matinée dorée.
Il n'était pas du genre lève tard, mais ce jour là son coeur fatigué n'acceptait aucun regard, aucune remarques, aucun sarcasmes, son coeur noir posé sur le drap blanc battait au rythme de sa tristesse.
Elle l'avait laissé, il le méritait, son coeur était bien trop occupé à voyager de corp en corp.

Pourtant il était rester bouche bée d'avoir trouver celle qui croyait en la clarté de sa volonté : Naive d'avoir essayer d'éclairer son coeur si noir, comme tacher de trop d'encre, l'encre de toutes ces femmes dont la destinée les ont menées à s'immortaliser dans ce corp vide. Il ne pouvait se le cacher, il pouvait toutes les oublier, sa seule satisfaction bien que matérielle mais tout autant réelle est son amour pour l'écriture, elle le fera devenir fou.

Mais une dernière danse avec sa plume blanche sans l'ombre d'un bruit mémorisera la rencontre entre le jour et la nuit, entre le soleil et la lune sans que son amertume vienne ébranler leur baisé volé.
Il avait le coeur brisé mais il pouvait être comblé d'avoir régner le temps d'une seconde sur l'oreillet de la passion ... triste et sublime ... il se noya d'amour

3 commentaires:

Anonyme a dit…

Notre infinitif du présent .. Aimer ..

Anonyme a dit…

Serre-toi, serment, sers-t’en de moi .. (L) .








Emma C.

Anonyme a dit…

Jouons à genoux, à je, nous .. (L) .











Emma C.